Aux pépites de lune que je bois dans l’eau douce, Aux bras de la rivière qui m’a accueillie, Aux galets blancs de rêve qui nappent mon lit, Aux flots de crépuscule qui drapent mes écailles, Mon corps de poisson-femme qui danse dans l’or bleu, Je dédie mes rires de sirène, mes larmes, Je dédie les vagues étoilées de mistral Et je dédie l’écume où renaît ton regard... Je suis « Sirène de toi », Mon éternel hasard.