Je vis ce voyage de ton invitation, Merci du coup de ce bien fait, Avec tout ce monde cet amour Vers ce lieu luxueux, calme et volupté
Aussi je vis dans ton spleen, Éteindu en moi aux plus souffrantes brûlures Qui me fracassent le crâne En! Vois-tu? Que je meurs constamment De plus en plus vite Vers le réaliste pur En la nature vivante de l'automne, Où les feuilles brunâtres Se mélangent à la terre Et qu'une odeur touchante Dévoile, la putréfaction, De ce sombre paysage, Dans le voyage qu'on fait En acceptant de vivre!