S’infiltre en nos veines un venin, poison divin S’introduit l’amour, tourment perpétuel Puissance éphémère, sentiment mortel Asthénie pour le rejet conçu par le malin
Courtage des sens, capture de la passion Voile la prunelle, fermant chaque issus Capture les esprits, aveugle tout aperçu Emmêler est le faible devant tant d’émotions
Délire absolue face à un moment incongru Absence de loi, dirigé par une pure croyance L’affection déborde sans aucune outrance Perçu par ces contigus comme un malotru
Ferme les entendus, rejette les aperçus Seul visible aux regards des corruptibles Aux mains des fidèles s’ouvre une bible S’estime une lecture que le sensible perçu
Oh amour concepteur de grande détresse Assassin sans pudeur, funeste menteur Épisode magique, concepteur de toute peur Efface les impérities, oublie les maladresses
Conceptions perfides pour un monde incolore Destination inconcevable pourtant ambitionnée Pouvoir d’allier deux corps en une destinée Alliance vénérable qui rend l’homme si fort
Chemin escarpé, s’ouvre un combat continuel Aucune issue, sortie obliger vers un sentiment Exquise sensation, oublie le ravage du temps Ignorée antérieurement, resteras toujours virtuel
Possession de l’âme, ouverture d’un contrat Signature sanguinaire, voyage vers une chimère S’engendre une allégresse que refuse notre terre Aucun recours, l’hades seule affranchiras
Tentation bénéfique, errance des plus fantastique Dans l’antre de l’inconnu, divague l’hasardeux Guider par une main, celle d’un unique dieu S’écrit sur le parchemin, un conte féerique
Fondation solide, démarrage d’un futur Le simple devient double, pour un temps Avant que se génère d’une relation, un enfant La jeunesse d’un couple devenant mûr
Amour comment te définir, te décrire Tant de phrases restant incompréhensible Rien de ce que l’on ne peu dire n’est plausible Juste un fait, tous tu nous as fait souffrir