J’ai vu la vie et la mort s’entretuer, J’ai repéré vent et pluie s’enfuyant A ton cœur rêveur. J’ai peint la vie et la pluie du moment En déjouant la mort et le vent ancré A ton cœur songeur.
J’ai senti peur et chagrin t’envahir, De tristesse et d’ennui, mille griffures A ton cœur meurtri. Des peurs et ennuis, panser les blessures Chagrins ou tristesses j’ai pu guérir A ton cœur chéri.
J’ai traversé océans et orages, Bravant tempêtes aux marées funestes A ton cœur sombrant. J’ai rendu océans et marées sages Domptant orages, tempêtes et le reste A ton cœur d’enfant.