Rizières des mers arides, si profondes. Bleu, mélangé d'eau blonde de paille. Ronde des vents tournants, passe muraille. Chine blanche, vertige d'un nouveau monde.
Sable vert pittoresque des champs infinis. Sous l'eau, des écailles rouges bleuissent. Azur, feutré en sourires marbrés de Galice. Chine vierge où les hivers fleurissent unis.
Sous la lune, peinent les faux luisantes. Éclairs de feu dans une nuit accablante. Rêveries sourdes des mains qui ploient. Chine de la multitude des verts emplois.
Légères, les ondes bicolores qui changent Des décors oubliés. Tours de verre lustré. Bulle éclatante, éclatée dans l'espace vitré. Chine bouillonnante, suffocante d'échanges.
Indomptable foule de mimes saccadés. Bruyantes effluves de rue en fleuves bondés. Pas d'ennui dans les heures de nuits grasses. Chine éveillée, mandibule, boule de masse.
Tout au bout d'un monde, une ronde de vies Nouvelles. Peuple rieur de blanc riz en lavis. Derrière la muraille vit humblement l'immensité. Chine universalisée, fièvre jaune émancipée.