Saoul, dans mon livre d'images d'eau. Où poussent les clameurs incessantes De ma vie. effaré de moi, mon doux égo. Je transpire des larmes boussoles aimantes.
Dans un monde plié d'océan nu, mon âme A soif du sel de ces mers abruptes, qui longent Mon étrange drame assoiffé de rêves. Femme, Fille de mon corps troublé du féminin songe.
Ivre, dénudé par mon cœur lentement prisonnier, Je dérive vers l'impossible sagesse des flibustiers. Je vire aussi de bord soutenu par les frêles étés De mon enfance. Vacillant sur mon corps éperonné.
Saoul, dans mon livre d'images d'eau. Où poussent les clameurs incessantes De ma vie. effaré de moi, mon doux égo. Je transpire des larmes boussoles aimantes.