C'est quelque part dans la verdeur de l'herbe Il faut l'entendre, aggriper ses sensibles mains à son énorme cou (et l'autre main - à l'arbre) Cette nuit Ne consent ni ne mord -- s'effondre Quand (comme une nuit S'épuise -- à travers ses reprises On la devine alors : déchirée) Son pouvoir la redresse et lui souffle Tremblant d'une voix exaltée : (Mais tu en fis le voeu, Tu ne peux t'abstenir, reculer, Te soustraire).
Un rêve s'avéra Le réel, un désastre : rencontré, Il se présente à nouveau à qui ? car nul ne vit Ici, qu'un grand arbre et des herbes Hautes pour le caresser