L’amour que je vous voue vaut l’avis d’un aveu Je savoure à l’envi votre voix si suave Mais j’en veux à la vie d’en vouloir à mon vœu Je vous veux, je vous veux, vos yeux me laissent hâve
Envoûtante, en vous tout me tente Tout me tente, envoûtante
Je vous vois, vous vouvoie, mais vous me voyez-vous ? C’est vrai qu’en vous j’ai vu comme un aveu d’alcôve Mais je vais et je viens, je vole autour de vous, Mais je vais et je viens, aurai-je la vie sauve
Envoûtante, en vous tout me tente Tout me tente, envoûtante
Ce vent qui vient de vous vous dévoile et m’enivre Il m’invite à venir mais vite à convenir Que rien en vous n’avoue vouloir me voir poursuivre Vil et veule à la fois je m’en vais devenir
Envoûtante, en vous tout me tente Tout me tente, envoûtante
Verrai-je un jour nouveau mes doigts dans vos cheveux Verrai-je se lever le voile de vos yeux J’ai vécu pour vous seule et aujourd’hui je veux Vivre au-devant de vous avant que d’être vieux