J’étais condamné et désarmé, à ton cœur, Car tu savais comment me garder prisonnier. J'éprouve parfois l'impression que je dis « peur », Est-ce un mal de m’entendre le prononcer.
Quels que soient mes efforts, retient cette qualité, Car j’ai vu, avant toi, les heures ténébreuses. Malgré tout cet amour que je puisse donner Les larmes de mon cœur, s'écoulent, douloureuses.