Dans ces lambeaux vides, dont les bruits agacent, Se brise lentement, au fil du temps qui passe, L'infinie solitude offerte aux grands rapaces, Avides de rêves et de très grands espaces.
Les jeux de l'amour, cette belle mécanique, Tapie au plus profond des stratégies guerrières, De séductions et de conflits asymétriques, Sont combats mondains aux parfums de dialectique.
Alors faites l'amour, c'est la guerre des nerfs, Que chacun ne déclare jamais vouloir faire ; Il est interdit d'interdire de tuer, Les sentiments qui ne seront point agréés.
Dans ces lambeaux de vies dont les vides fragments, Se brisent lentement, réduisant dans l'instant, L'infinie solitude offerte aux combattants, Avides de trêves et de nobles sentiments.