Quand des vacancières chargées de coquillages, Croisent les mouettes qui rentrent de la plage, Les estivantes crient, se tournant vers le ciel, Aux mouettes volant leurs doutes existentiels,
Chez les Allemandes, le string marque l'arrêt, De ceux qui, égaux et lents, fixent leurs silhouettes. Chez les mouettes blanches, le cri marque la raie, Jaune, zébrant leurs becs, que les embruns fouettent.
Les mouettes fouillent les amas de papiers gras, Les estivantes, les écrits people cul sec. La française sans plume, un livre émiettera, Alors que l'affamée sait bien où est le bec.
Tard, les estivantes déhanchées font les belles, Exilé en son bar, au milieu des tournées, Son zèle de gérant l'empêche de marcher, Le soir, vers la jetée, s'envoler avec elles.