Sous les premiers feux de l’été, Le chêne noueux se désole, Pendant que les enfants s’envolent Vers un jardin de liberté.
Devant le visage enchanté Du maître au sortir de l’école, Sous les premiers feux de l’été, Le chêne noueux se désole.
Dans le silence tourmenté Par un essaim d’abeilles folles, Il prie que le vent le console De son souffle empreint de gaieté, Sous les premiers feux de l’été.