Les chants désespérés abusent les candides À l’esprit envahi de rêves insipides. Lorsque le libertin, las d’être ballotté Sur l’océan fougueux des brèves voluptés, Où son âme avisée entrevoit son naufrage, Décide d’accoster un paisible rivage, L’horizon se revêt d’un soleil malicieux, Zélé à raviver un désir prodigieux Dans son corps vigoureux, de sorte que, fébrile, Il reprend son périple aux rencontres fertiles.