Entre les baisers et les pleurs Nourris de reproches stupides, Le fil de la joie se dévide En un écheveau de rancœurs.
Malgré les regards enjôleurs, La tendresse se dilapide Entre les baisers et les pleurs Nourris de reproches stupides.
Après les frissons de bonheur Assortis de serments limpides, L’esprit morose tourne à vide, Tandis que la passion se meurt Entre les baisers et les pleurs.