Épuisé de pleurer sur ses voluptés mortes, Il plonge dans la ville où la rumeur emporte Les échos du chagrin qui lui vrille le cœur. Il arpente les rues bondées de promeneurs Au visage égayé par les douces lumières D’une soirée gorgée de senteurs printanières. Guidé par le hasard, il entre dans un bar, Où l’alcool à foison embrume les regards, Avant de succomber au charme d’une femme Habile à insuffler de l’espoir à son âme.