Morte cent fois dans mes poèmes, Je prie le néant fossoyeur De mettre un terme à ma douleur En prenant ma vie de bohème.
J’exhorte le démon suprême À venir débrancher mon cœur. Morte cent fois dans mes poèmes, Je prie le néant fossoyeur.
Je donne les sonnets que j’aime À l’ange en habit de froideur, Apte à éteindre mon malheur, Guidé par les vers que je sème, Morte cent fois dans mes poèmes.