Qu’importe l’abandon de sa princesse habile À souiller leur passion aux frissons enchanteurs De trahisons celées dans un torrent de pleurs Répandus sur l’autel du désir versatile !
Qu’importe la laideur des faubourgs de la ville Infestée d’une armée de voyous bagarreurs, Zélés à l’abîmer dans l’antre de la peur, Quand l’insomnie l’entraîne hors de son domicile !
Qu’importe le complot de collaborateurs Pressés de saccager son travail en l’honneur D’une ambition bardée de manigances viles !
Dans ses nuits constellées de poèmes rieurs, Arrosés d’un whisky aux fragrances subtiles, Un avenir pétri de bonheur se profile.