La danseuse enfermée dans la boîte à musique Prie pour que la délivre une main sympathique. Aussitôt qu’un enfant entrouvre son écrin, Monte en remerciement un chatoyant refrain Dont la belle ponctue avec délicatesse Les accords en tournant sur son socle en vitesse. Quand le coffre revêt une brusque noirceur Assortie d’un silence au parfum de malheur, La poupée de satin implore la lumière De l’arracher bientôt aux crocs de la poussière.