Quand l’ennui se déverse en heures de silence, Quand le doute construit un lacis de démence, Quand la nuit se dissout en perles de chagrin, Je compose en solo des poèmes empreints De ma désespérance.
Quand le matin dilue mes fiers alexandrins, Quand mes amis conspuent ma conscience d’airain, Quand le soleil cruel brûle mes confidences, J’étouffe les échos de mes noires souffrances Dans mes vers souverains.