L’attitude de la variété A une intention fébrile sur la vérité Harcelé par des crépuscules sans explications La jubilation se fait intense, imprévisible Patiente des frissons conséquents Les patrouilles de l’immortalité Admettent les maléfices Qui remportent d’horribles victoires Sur les mémoires La nuit : la nuit la femme Se dresse déesse Où la répartition des absences Se fait par le rêve, Parfum d’orages sacrés, le céleste c’est tué L’horizon bouche ouverte sur les différences J’y vois flotter des pluies aimées La femme ; Elle émerge, Réapparition d’un masque antique Joie évolutive du bonheur convulsif Parfum La lune retourne aux sept péchés capitaux Et s’enfle le cœur d’extase, Douce fleur du sublime La mer (méditerranée catalane) Par la palette du peintre attendri L’évidence de sa lumière Le roseau Source de nids d’eau Le peintre La marche sur le sol En fait un combattant qui une fois blessé Se gerbe en couleurs Enflammant les instant de douleurs Une étoffe de traces majeures, accrochées en cortèges à ses hanches de pulpes Le secret si animé Multiplie le besoin que comporte le fardeau du savoir La mort ; Labyrinthe d’une agonie, Où prévoir est un tord Fâcheuse conséquence D’une préoccupation maussade à la destination toute indiquée…