Les ailes de ma tristesse Me portent à toi et pourtant Je baisse, frappe ma tête Dans les ténèbres affligeantes Pédale comme le coléoptère de Kafka Et mon cœur malade plane Pour qu’il ne soit plus enchainerais Quarte chevaux en tirent mes os Bonheur, mélancolie, amour, souci Et après, ce qui reste de moi-même Me laisse vide, dans l’abandon, Ne cessant pas pourtant De rêver de toi, alors Eveillé, j’envoie les signes sacres Qui brillent au silence cristallin