Par frôlements sur les courbes et lignes de ton corps Je me mets à l'affût de tes interstices naissants. Ainsi, l'ultime issue est cette rencontre, en frémissant Pour être et naître à la fois, encore et encore.
Pour un soupçon de caresse, voire une nuit d'ivresse, J'appréhende ce corps qui me parle ainsi : Là, une épaule laisse passer une fine lingerie, Ici, une chair tendre sous les bas sombres, prête aux caress
Je saurai respirer les parfums ambigus de ton âme, En dévoilant le frémissement de ce corps offert. Je pourrai, à ton grand dam Pénétrer ce calice du jardin secret mais ouvert.