De tes cheveux bruns à tes yeux sombres Jusqu’à l’interstice de ton nombril à venir Que de parcelles énigmatiques à découvrir... Et qui sont encore pour moi des ombres.
Je n’ai à l’instant qu’un écho de ta voix, Que l’image de l’image d’un écran. Mais déjà, je goutte à ces tourments Qu’inspirent ces émois.
Sais-tu que dans le creux du nombril s’inscrit Le flux avec la vie et le palimpseste discret D’autres orifices qui font ton intimité Et qui n’ont pas besoin d’être décrits ?
Pour le savoir et le connaître, permets-moi Ici d’y poser une gouttelette de ma salive, Autre flux où toute l’émotion passe, soumise A tes propres émois.