Comme un tas d'eaux au ciel, fines, à l'ombre de l'air; Qu'en une intense pluie ne demeure sa convoitise, Le vent l'emporte,la sérénité se brise; Nul morceau ne reste,le ciel prend des grands airs.
Dans le but de diminuer sa rage aux dents, Le ciel s'empresse brandir le vol de son nuage; Transparent qu'est le vent,total est le carnage Quand le revers de la médaille,si noir,s'y rend.
Au-delà des fleuves,océans et des mers, Au-delà des arbres,forêts et des verdures, La fureur céleste s'étend sur la nature, Les cours d'eau,jusqu'à l'infini de l'univers.
Entre le ciel et la nature,la nuit s'en mêle; En guise d'un long soupir,vient la tendre rosée Au chevet des créatures indisposées; Pour peu qu'elle sache,certes,y faire du zèle.