Oui, c’est ces questions absurdes Mais simples, sans réponses lourdes Mais imbibées dans le mystère, Qui me font creuser les méninges Et y laissent peu de carnage, De doute incertain…de colère.
Oui, c’est là, au fond de mon cœur, Que s’éternise ma douleur !
C’est ces sentinelles de nuit, Ces mendiants évanouis Au bord d’une étroite ruelle ; C’est ces gens aux fronts infertiles, Ces gens aux sueurs volatiles, Qui me rendent triste et cruel.
Oui, c’est là, au fond de mon cœur, Que s’est enfoui mon bonheur !