Que les cœurs volent, que les âmes posent pied Et que les amours jaillissent de leurs guêpiers C'est un temps pour les roses et les lilas frais Les églises en chœur avec les minarets
Le temps de sortir colosse de sa braguette Afin qu'il pointe le ciel avec son gland net Aussi droit qu'une tour, aussi bon qu'un cornet Celle qui l'engloutit détache son corset
L'homme reconnaît son sein doux avec sa paume Il pince sa pointe, le nez dans son arôme Suçant son jouet avec l'ardeur d'une spécialiste Elle en salive au point d'être en tête de liste
Sans trêve et sans relâche, elle suçote sa stèle Elle, abbesse et lui imam, dans le grand castel Dès qu'il lui enfonce l'index et le majeur Dans sa nymphe humide, elle crie d'autres faveurs
L'individu ôte son membre de sa bouche Le faisant poindre vers la cible de sa fourche Et il la pénètre avec une telle force Que les seins de la nonne veulent fuir son torse
Au loin, on entend les grands clochers qui résonnent Eux, bien recelé, aucun témoin ni personne Ne sait ce qui se passe de u haut de la tour C'est une baise qui enseigne ses atours