Le pervers diplomate matte des nichons Sur son écran quinze pouces, verge à la main Neuf pouces bien gorgés de sang sur va et vient Quand les rêves inspirent son massif cornichon
Autrefois placier au cabaret Folichon L'homme solitaire a connu une valseuse Chevauchant les poteaux et la scène hasardeuse Fumant avec elle en coulisse des chichons
Les images défilent au clic de souris Pourtant rien de plus ne l'a encore assouvi Tellement l'ennui est venue transcender l'envie
Il se souvient que de généreuses bouffées Donnaient le feu vert pour qu'elle puisse le bouffer Aujourd'hui, ce n'est qu'en image qu'on le ravit