La chaleur est présente où mon âtre se couvre Aux crépitements sourds, des égarements froids Ne suffisent toujours pas à roussir les proies Mais jamais ne craignent le velours qu'on découvre
Dès que tu vois le feu sourire à ton détroit Où ton auge faillit, là où ta faille s'ouvre N'oublie jamais ta crainte avant qu'il ne la trouve Ses séismes de soufre embraseraient ta croix
Car elle n'oublie pas, (l'oublie ne gèle plus) Elle brûlera pourtant autant qu'elle t'a plus Car son cercle rend fort, Crématoire qui dort
"Chut! Laisse-le rêver, cette bûche d'efforts... Ne viens plus tracer de toiles sur son confort" -Peu m'importe ici-bas. Le mis à mort m'a plu!