Je chasse le Pécari pour nourrir ma famille Aucun sentiment bilieux ne pourra me peindre Nos enfants sont joyeux, ensemble ils fourmillent Aucun aliment infectieux ne pourra les atteindre
L’eau de mélisse ressemble à l’hydromel qu’on brasse Une gelée de miel et une eau-de-vie altière Affadissant les faibles et encensant nos prières L’alyte qui fume risque d’imploser sur la place
La peau du sang-lier est un cuir véritable Comme celles que l’on retrouve aux étables Sa viande est aussi délicieuse et riche en graisse
Elle permet aux chasseurs, allié à la potion des dieux, De combattre celui voulant infiltrer ses rangs Merci aux convives qui trompent ainsi l’odieux