Au son d’une musique lascive qui nous emporte Je te lorgne te dévêtir sur le seuil de la porte Cambré comme un fauve prêt à dévorer sa victime La vue de tes charmes gonfle ma verge légitime
Au bas du dos, j’explore de ma langue ton fessier Où la volupté de tes hanches est si appréciée Quand mes mains les abordent d’une immuable insistance Certes, ce n’est plus qu’un prélude au plat de résistance
Et je plonge mon palais par-dessus ton clitoris Aussi ferme que la pulpe de la nymphe Doris Mon dard salivant pourlèche à tatillon ton pistil D’où ta sève délicieuse m’éclabousse et distille
Je te retourne sur le ventre pour te chevaucher Ma férule impérieuse sans aucun geste gaucher Transperce tes cuisses jusque aux lignes de ton cervix Et je vais, et je viens… un ravissement tout sauf prolixe…