C’est difficile parfois de pouvoir comprendre De toujours foncer et de ne jamais se rendre Faire preuve d’ouverture devant les portes Qui se ferment devant sans qu’on ne s’en sorte
J’ai le désir brûlant de rester vivant Aussi longtemps que permettent les jours suivants De traîner ma carcasse qui sait souffrir Autant que mon cœur dans l’amour sait s’ouvrir
Même si les saisons passent et se ressemblent Que mes idées progressent et que mes rêves tremblent Je souhaite accomplir plusieurs idéaux Et mettre un terme au mécanisme des fléaux
Souvent, j’échappe une larme sur ma joue Ce n’est pas toujours la tristesse, je vous l’avoue C’est aussi la joie de constater mes progrès Et de rejeter au loin tout ce qui me rend mauvais
Si le ciel peut lire le flot fluide de mes pensées Il sait que je n’ai nul envie de renoncer Avec une confiance qui sans cesse évolue C’est pour mon bonheur que j’ai jeté mon dévolu