J’ai ciselé ton cœur de ma lame égoïste Sous l’œil qui trônait au-dessus de mon canon Du plafond où les miroirs entendent mon nom Une collection de fessiers de pures moïstes
Je les regarde, je les lèche, l’humoriste Qui dort en moi ricane de voir ces ballons Aux boutons durs et goûteux tout comme leurs cons Celles que j’ai choisies pour être l’exorciste
J’extraits le mal de leurs fourches avec mon cobra Une après l’autre sous l’effet des caméras Pour que tu puisses assister à ma trahison
Tu as voulu tremper ta chatte dans d’autres spermes Ma vengeance est cruelle, juste et bien ferme J’emporte un parfum de chinoises garnisons