Convulsions dérobées par la tête, Scintillements des horizons bleutés, A ton doux reflet ils s'entêtent, Dans l'ombre de l'enfance volée.
Épaules drapées de nappes blanches, Le vagabond des cieux se penche. Visages fermés alors se détachent, De l'écrin du poète qui se cache.
Écorché ton coeur pleureur se vide, Du diamant larmoyant qui sanglote, Des rivières de larmes à leurs grottes.
Trainées de feuilles accompagne un parfum, Dont l'effluve se hisse vers les jardins, Où le jambes douces se marient, Au tronc de vie qui chante ta rêverie.
Langue transpirante jalouse des déserts, Des dunes néfastes où la pulsion est reine. Tu apprends à en déterrer les joyaux amers, Pour ne pas flamber ta folie dans l'arène.