Dans ce monde imagé où vivent les étoiles, Je sens l'étourdissement d'un zéphyr qui se voile. L'harmonieuse illusion de ce vide éclairé, Laisse penser aux âmes qu'elles libèrent leur péchés.
Les larmes incontrôlables qui s'évadent de ce cœur, Laissent filer de peur le convoité bonheur. La flamme tant attisée de l'émotion intense, Ordonne à ce lent souffle d'imposer des nuances.
Les sensations troublées des traces immaculées, Ouvrent la porte hantée d'une friction élancée, Sans laisser pénétrer ce doux flux d'ignorance.
Une fois essoufflées par cette aride danse, Les ombres réfugiées de l'étranger malheur, Décident d'assombrir cette douce lueur.