Mais non vois-tu ce n'est pas l'hiver j'ai pas vu le soleil de Zola et si le monde est à refaire j'aimerais au moins que tu en sois.
Quand du fin fond de sa misère l'univers porte tant de croix la souffrance ne date pas d'hier mais faut jamais baisser les bras.
Rends son argent à la tôlière elle en a plus besoin que toi le vent a redoublé mon frère les bombes tombent sur les toits et à l'ombre de nos frontières des hommes nous épient comme des chats.
Les royaumes ne sont plus prospères tous les rapaces sortent des bois il y a tellement de lumières sans cesse la drogue nous tend les bras ça sent le venin de vipère et les pauvres n'ont plus de droits.
Alors le ciel de ses éclairs essaie de retrouver de la voix mais les tremblements de terre nous laissent dans le désarroi fendant les montagnes et les rivières en nous laissant les trépas.
Quand chaque jour de nouvelles lois viennent anéantir tous nos pas on évolue plus vite qu'hier mais on stresse et on perd nos joies.