Ton corps, il y a si longtemps, fume une froide essence, Des années pour trouver la flamme qui le fera se dessiner Les serpents se frêle d’étroits chemin pour frémir aux cotés Ton corps, combien d’années ? Quand partout les trains, des milliers de trains traversent Combien tu réuniras toutes tes ardeurs pour laisser libre to Ton unique être, confondu dans la folie de tes multiples des Est si Libre comme l’arbitre qui délimite tes rêves depuis s
Il fait froid ce matin, tu part, ton bleu est remonté et rec Le bleu qui souligne les matins heureux De ma plage, je me souviens lorsque ton journal fut ta litté De ma plage, je bois mon café pour saisir que tu n’es sureme De mon café je partage le silence avec toi,
Ton corps, il y a si longtemps, fume une froide essence, Des années pour trouver la flamme qui le fera se dessiner Une racine essoufflée par la terre au dessus, et l’eau qui l Ta conscience modélisée est le chapeau de tes nouvelles idée Combien tu cries, entre le boulevard et le métro que tu fini Ton unique être, confondu dans la folie de tes multiples des Est si Libre comme l’arbitre qui délimite tes rêves depuis s De ma plage je m’étire comme le pont sur ta ville Qui s’élève pour tes pécheurs et tes radeaux, Mon café fume tandis qu’il manque une corde pour finir mes m Ton corps, si longtemps ne l’as-tu pas regardé ? Les yeux pendus au ciel, les mains posées sur ton couvercle Ton corps, si longtemps ne l’as-tu pas regardé ? J’ai découvert une musique ce jour qui m’a fait danser Dénudée de quelques vêtements, je n’ai pas aussi froid que l Le journal me servira pour aguicher le feu et attiser les pa De notre malheureux film protecteur que nous offre la vérité Heureux ceux qui l’a détienne, que leurs mains serrent puiss
Il fait froid ce matin, l’eau sur son rivage n’a de cesse de L’essence sans même une flamme ne s’y est déposée, C’est l’essence même, semblable aux gouttelettes lorsque je De mon café, je partage le silence avec toi.