Je mordrai tes fesses pour mon plus grand plaisir Elastique buccal de tes anatomies Je suçonnerai ces pommes plus chairs que l'or Et si tu ne prends garde je les croquerai
Ma langue allant salant s'alanguira anguille En guise du vivier charmant où l'on s'égare Ou pis pris d'une mystique quasi biblique Nous nous perdrons âme damnée et corps béni
Mais tu voudras encore et je t'obéirai Je m'assoirai tout le soir sur tes reins d'airain Toujours serein et Rhin qui coule vers sa source
Et là posé tel un roi déchu sur son trône Battrai ta croupe statufiée en mes mains Misérable esclave sous le joug de l'amante