Vos
poèmes

Puisqu'il faut bien mourir un jour
Alors jusqu'à plus soif aimons
Jouons sans fin au jeu d'amour
Jouissons jusqu'à déraison

Que vos effluves se mélangent
Puisqu'il faut bien mourir un jour
Que vos corps dans la nuit s'échangent
Âmes damnées et sans retour

Libertine au cœur de velours
Vieux libertin poudré d'antan
Puisqu'il faut bien mourir un jour
Aimez-vous à travers le temps

Que la débauche et la luxure
Soient votre credo pour toujours
Votre joie et votre blessure
Puisqu'il faut bien mourir un jour