Près de mon arbre, je pense à ce qui brise mon coeur Hôpitaux, maladresse, le chagrin du cycliste Ile de malheur, je trouve des macabées sur ma piste Le bonheur me tend enfin la main et je pleure.
Incertitude, la nostalgie me fait trop mal Pour soulager mes regrets, je sculpte mon corps Pour soigner mes plaies, je lave mes pensées à l'or Ecoute les lacs se sevrer, mon coeur est si pâle.
A l'horizon, je regarde mon futur destin Reculez feux ailleux qui m'empêchez de penser Théatre d'anarchie, personne ne peut m'aider ?
Hélice pénétrant dans l'air comme mes yeux dans tes yeux Ursula ma bien-aimée je t'en veux encore. Rats, vautours, autour de mon âme je sens la mort.
*poème co-écrit et dédié à mon ami breton Arthur Alexandre.