Le balancier du temps avance d'un pas lourd Sur les têtes abaissées de pauvres gens prostrés. Il avale l'espace, étouffant, restant sourd A l'envie d'évasion, les plaquant là, vautrés.
Pas de fuite en avant, il faut encore attendre. Et le Tic-Tac résonne, assourdissant, pénible. L'atmosphère s'englue des désirs de se vendre A qui les sortirait de cet endroit risible.
L'attente victorieuse, un pied sur ses victimes, Sourire et yeux brillants les pousse vers l'abîme. Et d'un lent mouvement, lâchant leur soumission, Étends son bras drapé en notre direction.