Montez de ma substance, mes volutes chéries ! Les flammes de mon corps transportent aux gémonies Ton corps et ton âme et ta propre substance, Et ton cœur, quelquefois, entonne une brève stance Qui vante mes mérites et ravit ton esprit.
Lorsque la fumée bouffe de mes tresses cancéreuses Ma nicotine imprègne tes membranes séreuses, Où roule, noire d’amertume, une fielle liqueur Par laquelle tu jouis et par laquelle ... tumeur !