La nuit de ton absence orne mon paradis D'un voile de tristesse aux nuances ombreuses Où la lumière fuit les grottes ténébreuses Transformant notre espace en nocturne taudis.
La musique se meurt quand l'univers s'embrume Et s'égarent les mots de tes cris assourdis Que le silence absorbe et l'angoisse consume.
Soudain le soleil peint de son pinceau flâneur, Par les couleurs de l'aube un tableau de bonheur.