Toujours reconstruire sur des cendres, Et notre âme à plus se fendre. Serait-ce pour des terres plus fertiles, Où naîtront des fleurs subtiles, Parfums nouveaux, raffinés, exquis, Entre aperçu en de songeuses nuits. Comme les fânes après moisson, Brûler le reste d’émotion ? Doivent-elles demeurer souvenirs, Sans aucune chance de refleurir.