B ien que j'en ai plus de ce monde O n n'oublie pas ces personnes si proches. N aturelle, elle était fraîche, N e me souvenant que d'une, je me remémore E n quelques instants, son doux visage
F açonné par le vent de campagne et par les ans, E ncadré de ses long cheveux blanchis. T oujours porteuse de son tablier, gris à petites E toiles blanches, de protection.
G rande travailleuse dans la ferme tenue par son mari, R avie de s'occuper de la basse-cour. A rrangeant son jardinet de fleurs, N onchalamment, elle arrange un bouquet de fleur D ominant sur la table de la salle. - M ère-grand, je te souhaite une très bonne fête E t, si tu me vois, sache que je pense à toi. R iche, oui, je suis riche de ton enseignement, E t par la pensée, ne t'oublierai jamais.