H ier encore, on m'appelait poète, I rrésistiblement j'en rougit, P ar timidité, par modestie, certains le diront.... P our moi, par respect du travail d'autrui. O ccasion m'est données de valoriser tes écrits. C haque personne fait de son mieux a fin que les autres A iment et apprécient leurs efforts. M ais que tu me surnomme maintenant ainsi, P ar malice, je suppose, dans le but de me faire E baudir, et ainsi sourire, me ravit.
P our ta gentillesse, sans flagornerie, j'accepte, O combien, avec remerciements, cette petite flatterie E t je tiens tendrement à te remercier, par ce modeste et T oujours écrits de ma main, cet acrostiche I déal serait trop exagéré; mais ce petit geste de ta part, Q ue j'accepte avec toute l'amitié que je puis te porter U nifie et renforce nos liens E n cette matinée fraîche et neigeuse.