Acrostiche chiche par la déclinaison Le beau en variations s’étonne tiennes d’émotions L’acte poétique fébrilement sensé Zutique fragile d’opaline modelé Conspire tant le ciel qu’il sublime la terre
Zut pour les mots fanés extimés de pensées Oui tous les mots d’âmes parce qu’océanisés Risquent vraiment le sens l’expression la passion La vraie danse sans façon l’écume de vague fashion Rimes libres d’ailleurs surgies d’intrus passeurs
Ce dont les mots témoignent élève notre cœur Soif d’être message ils composent nos fleurs Ad gentes folle ivresse offre le dire capable Fenêtre espérante d’être inoubliable Aux volets de cristal irrigués de lumière
Nous sommes sur terre comme sur un parvis Non pas clos sur nous même ni d’un rêve d’oubli Comme pavois flottent nos visages de traces Imprimant d’images tous nos chemins d’espaces Comme le temps donne à l’Amour ses très riches heures
Ad gentes ou d’autrui vivre le verbe sponsal Souffrant dextre lacrymal mais non point final Sonner d’années la vie vibrante d’éternité Vers tige d’être tire d’elle sous le doux vent volé Ad gentes Ad gentes Ad gentes