Tu étais rendue dans l’année de la cire, J’étais au firmament de celle du jade. Tout deux nous ne savions que dire En ce moment où nos vies étaient brimades.
Ta jeunesse en cet instant où tombait la nuit Ne faisait qu’éclairer ce crépuscule venteux, Les frissons parcourant ta peau embrunit Transmettaient en moi des envies de jeux
Que penser que de moi Contemplant ce fabuleux trésor, Qui créait en ce soir de l’émoi Renvoyant peu d’espoir sur mon sort.
Points d’amoureux plaisirs, Que de verbales joutes. Là étaient stoppés nos désirs Dans l’immensité de nos doutes.
Nous avons traversé la ville, Mains unies comme des traits d’unions Attachés l’un et l’autre, serviles Captifs, de leurs propres prisons.