Voilà maintes années déjà que le collège Ce lieu où j’ai grandi et ai pris de l’étoffe Me rappelle l’époque où j’eus le privilège D’avoir des pédagogues aussi nommés les profs
De ceux-la, ma mémoire a gardé certains noms Je les vois plus encore affublés d’un surnom Heureux temps que ce temps, ce temps d’adolescent Hélas il est allé vers un temps sénescent
Puits de sciences, vaille que vaille ils inculquaient Les bienfaits de leur science à de futurs adultes Nos consciences et nos corps chaque jour s’éduquaient
Lorsque j’écris ces vers tout mon «ego» exulte Peu me chaut leurs défauts,j’ai apprécié mes maîtres Il appert qu’en mon cas,ils firent mon bien être
à Bouillon.be 1949-1955 Sonnet ex.Les Maissineries VIII.20