Ô chaste demoiselle qui m'avez possédé Alors que mes pensées mes désirs Ma soif d'amour furent vôtres En ce temps jamais par dépit Vous ne serez via mes vers connue
Empressé plein de feu de ferveur J'aimais tant vous plaire alors Hélas mes ardeurs de l'époque Aujourd'hui sont bien mortes Je mourrai paisible sagement Sans regrets et sans peines Oublié certes et loin de vous