La vie est pour les uns,source de joies,d’allégresse Pour d’autres,a contrario,d’amertumes,de tristesse Mon être en pareil cas est comme mon coeur en pleurs Et les larmes à mes yeux,le signe de ma douleur
Aucun père,nulle mère ne délaissent ses petits Leur amour est présent,même s’ils sont partis La nature a ses lois et chacun son destin Même les louves(à Rome)allaitent par instinct
Heureux est cestuy-la,qui dans sa solitude Peut comme nous compter en la sollicitude D’un fils,d’une famille,d’une vieillesse heureuse
J’ai fort regret Lutetia,de ces heures passées Et je vois et je sais,tu te sens malheureuse La vie t’attend,splendide,avant de trépasser
Aan onze vriendin Lutetia Sonnet irrégulier Les Maissineries V.19